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10 conseils pour tirer le meilleur parti de vos consultants

  • Hendrik Freisberg
  • juin 30, 2021
Content Marketing

Comment faire pour que mon projet soit couronné de succès ? Et comment obtenir une performance maximale de la part de mes consultants ?

Si les réponses à ces questions peuvent paraître complexes, il existe des comportements que les initiateurs d’un projet peuvent facilement adopter. Ils constateront rapidement une différence dans leur routine quotidienne.

Chez COMATCH, au cours des six dernières années, nous avons piloté plus de 3 000 projets en recourant abondamment à notre réseau international  de quelque 12 000 consultants indépendants et experts sectoriels. Voici comment  COMATCH construit des relations étroites avec ses partenaires de travail et auxquelles nous réfléchissons régulièrement quant à la façon dont nous pouvons les renforcer.

Dans cet article, vous recevrez des conseils très concrets sur la manière de travailler avec des consultants – conseils que vous pourrez tout de suite appliquer  lors de votre prochain projet. Nous partagerons également le point de vue de nos consultants. Ils nous révèleront comment assurer la réussite d’un projet et livreront un aperçu de ce qui les motive au cours de leur mission.

1. Une bonne chimie, ça compte

Pourquoi ai-je besoin d’une aide extérieure ? Dans quel service le problème se situe-t-il ? Quel type d’expertise est-ce que je recherche ? Avant d’engager un consultant, le client doit prendre tous ces éléments en compte. Sans instructions claires, le cabinet de conseil ou l’animateur ne sera pas capable de trouver l’expert ou l’équipe parfaite. Pour être certain que les qualités personnelles du consultant correspondent à celles de l’entreprise cliente, il faut leur demander de présenter des arguments convaincants sur la valeur ajoutée qu’ils peuvent apporter et sur les raisons pour lesquelles l’’entreprise bénéficierait de leur collaboration. Grâce à ces informations, le client peut alors anticiper la qualité du travail fourni par le consultant. À l’inverse, les consultants seront beaucoup plus susceptibles de fournir ce dont le client a réellement besoin.

Avant d’entamer un projet, j’aime en discuter avec le client. Cela ne prend que quelques minutes pour savoir s’il y a bien adéquation personnelle et professionnelle.

2. Les consultants ne lisent pas dans les pensées

Souvent, les frictions entre clients et consultants apparaissent lorsque les attentes d’un projet n’ont pas été suffisamment discutées. La collaboration se révèle beaucoup plus efficace lorsque les premières heures voire les premiers jours sont employés à en jeter les bases. Ne partez jamais du principe que quelque chose est évident (surtout au début d’un projet). N’oubliez pas que la personne que vous avez engagée est étrangère à votre entreprise. Vous bénéficierez simplement de son regard extérieur. Un plan préliminaire décrivant la compréhension et la vision de chaque partie permet de mettre en évidence l’objectif du projet.

«Il y a quelques années, j’ai signé un contrat visant plusieurs objectifs. Une semaine après le début du projet, j’ai fini par rencontrer le PDG, qui n’était pas du tout satisfait de mon travail.  Il n’avait jamais lu les objectifs du projet et les désapprouvait. Si toutes les parties prenantes s’étaient mises d’accord sur les objectifs avant de commencer, nous n’aurions pas perdu une semaine entière de travail. »

3. Soyez clairs sur la rémunération et le champ d’application

En plus de s’entendre sur les objectifs et les livrables, le cadre général de travail avec les consultants doit impérativement comprendre les trois éléments suivants :

  1. Un cahier des charges, par exemple une liste des régions et lignes de produits à prendre en compte. Il servira de base de référence claire et vous donnera une idée de la flexibilité du consultant.
  2. En discutant des livrables et de leur calendrier, on s’assure que le projet est traité dans le respect du budget et des délais. Veillez toutefois à ce que les choses soient équitables pour les deux parties.
  3. Enfin, parler de la rémunération permet également d’éviter toute friction ultérieure. 

À propos d’argent : à mon avis, les honoraires liés à la réussite du projet ne sont indiqués que si des objectifs clairement définis sont mesurables et en grande partie imputables au travail du consultant.

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